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CLASSE AFFAIRE OU ÉCONOMIQUE, POUR SAUVER L’AFRIQUE ?

La souveraineté économique de l’Afrique est réclamé par plusieurs personnalités noires: Sankara, Olympio, Cheikh Anta Diop, Aimé Césiar, Kadhafi, N’Krumah, Gbagbo,… la liste est longue. Beaucoup ont œuvré pour une indépendance économique du continent noir. Si, ils ne meurent pas assassinés, ils sont emprisonnés.

Cette souveraineté qui devient de plus en plus indispensable, se doit d’être réclamée par tous les chefs d’état africains. Hélas, peu d’entres eux le font soit par peur ou de connivence avec les pays colonisateurs,

Le président ghanéen a tout récemment refusé l’aide de la banque mondiale malgré les pressions extérieurs parce qu’il veut un Ghana libre et économiquement épanoui.

D’autres présidents médiatisent leur sens du panafricanisme mais, comme Alpha Condé — refuse à Kemi Seba de donner une conférence dans son pays —

Le nationalisme de chaque président se reflète dans sa politique gouvernementale.

Paul Kagamé industrialise le Rwanda et refuse l’importation des friperies dans son pays.

En Afrique du Sud, le tout nouveau président, 42 ème plus grande fortune du continent noir en 2005 d’après le magazine américain Forbes, dauphin du président Nelson Mandela en 1999, voyage en classe économique.
Cyril Ramaphosa ancien entrepreneur, président depuis le 25 février voudrait donner une image positive de la fonction présidentielle. Il serait favorable à l’unification monétaire de l’Afrique et prône la libre échange entre les États Africains et entre l’Afrique et les autres continents.

DUNAMIS ADJIGO

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