• Accueil
  • >
  • CULTURE
  • >
  • [CULTURE] HORREURS ET ESPOIRS : DES PEINTURES DE L’ÉCOLE POPULAIRE DU ZAÏRE EN IMAGES

[CULTURE] HORREURS ET ESPOIRS : DES PEINTURES DE L’ÉCOLE POPULAIRE DU ZAÏRE EN IMAGES

 

Peintures coloniales

Colonie belge II

L’École Populaire de la Peinture du Zaïre, un mouvement devenu poulaire au cours des années 60-70, a eu une influence significative dans un contexte surpassant l’art africain
Photo : Sulger – Buel Lovell Galerie

peinture coloniale two

Colonie Belge 1885-1959

Un groupe d’artistes, pour la plupart autodidactes, introduit l’utilisation de couleurs vives et l’usage de texte sur la toile, plus exactement, des déclarations politiques acérées, notamment sur le lourd passé colonial du Zaïre (actuelle République démocratique du Congo)
Photo : Sulger – Buel Lovell Galerie

peinture coloniale three

Mobutu Sese Seko

En utilisant des techniques de peinture d’affiche, d’art de rue et d’enseignes publicitaires dans leur travail , un style qui a maintenant été adopté par de nombreux artistes contemporains dans tout le continent, il était clair que l’École du Zaïre destinait ses peintures aux populations locales
Photo : galerie

peinture coloniale four

Le 30 juin 1960, le Zaïre indépendant

Tshibumba Kanda-Matulu était l’un des peintres les plus éminents de cette école. Ici, il dépeint l’un des leaders de la lutte de l’indépendance du Congo, Patrice Lumumba, donnant son fameux discours du 30 Juin 1960 dans lequel il condamne les puissances coloniales
Photo : Sulger – Buel Lovell Galerie

peinture coloniale five

Manifestation des Etudiants A Lubumbashi

( Les étudiants protestent à Lubumbashi )
Né en 1947 à Élisabethville (actuellement Lubumbashi ), Kanda-Matulu a commencé à peindre dans les années 60. Il est devenu la figure principale du mouvement artistique traitant fièrement des thèmes tels que les origines ancestrales, l’histoire coloniale, la lutte pour l’indépendance ainsi que les luttes post-coloniales pour le pouvoir
Photo : galerie

peinture coloniale six

GécaMines II

L’usine de la Gécamines et son terril sont devenus un symbole de l’exploitation du pays par les puissances occidentales. Située à Lubumbashi et une fois les terres acquises et exploitées, elle est devenue un puissant symbole des excès du colonialisme pour la plupart des peintres de cette époque
Photo : T. Kalema / Sulger – Buel Lovell Galerie

photo coloniale

Tshibumba

Kanda-Matulu et le professeur Etienne Bol
Entre 1974 et 1976, Kanda-Matulu peint son œuvre la plus connue, plusieurs fois commandée par l’anthropologue allemand Jahnnes Fabian. Les dernières peintures de l’artiste datent de 1981. Les divers efforts pour communiquer avec lui au cours des deux dernières décennies ont été infructueuses mais les historiens de l’art pensent qu’il n’est actuellement plus en vie.

NegroNews

Commentaires

commentaires

  • facebook Facebook
  • googleplus GooglePlus
  • twitter Twitter
  • linkedin Linkedin
  • linkedin Telegram
Précédent «
Suivant »