Depuis son arrestation en Avril 2011 , l’ex Première dame Ivoirienne, Simone Gbagbo ne s’était plus exprimé devant la presse.
Elle est poursuivie pour atteinte à la sûreté d’état.
Elle nie cette accusation en rétorquant « A l’heure où je vous parle, je ne sais pas exactement quels sont les actes matériels qu’on me reproche ».
Celle que l’on surnommait « la Dame de fer ivoirienne » accuse la France, l’ancienne puissance coloniale, d’avoir influencer l’opposition militaire entre les troupes de son mari, Laurent Gbagbo et les troupes fidèles à l’actuel Président Ivoirien, Alassane Ouattara appuyées par celle de Guillaume Soro, l’actuel Président de l’Assemblée Nationale Ivoirienne, jusqu’au renversement de Laurent Gbagbo en printemps 2011.
« De quoi se mêle t-il? » interroge l’ex Première dame en parlant de Nicolas Sarkozy, l’ancien Président Français.
Simone est la dernière accusée dans ce procès interminable pour atteinte à la sûreté de l’état.
Des événements qui ont eu lieu durant la dernière élection présidentielle ayant causé la mort de plus de 3 000 personnes entre fin 2010 et le printemps 2011.
Son mari, quant à lui, répond de ses actes, devant la Cour Pénale Internationale, à la Haye, au Pays Bas.
NegroNews.
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