Le 9 mai dernier, Glawdys Ramadji, ex championne de boxe thaïlandaise et conseillère municipale d’Albi sous l’égide du Front National a dit avoir été agressée dans le quartier Lapanouse par des jeunes individus. Suite à la dite agression, elle a déposé plainte au commissariat de police d’Albi pour violence entraînant une interruption temporaire de travail de 8 jours.
Mais voilà, aujourd’hui, les habitants témoins de la scène affirment que la version présentée par la conseillère municipale est erronée, ne rend pas compte de la réalité des faits. « Nous sommes en mesure d’affirmer que les allégations proférées sont inexactes et incomplètes puisqu’elles ne décrivent par le comportement extrêmement agressif et violent de la victime autoproclamée », a écrit une habitante à la rédaction de France info. Une autre s’est exprimée en ces termes, « la qualification des faits dans votre article ne correspond pas à ce que nous avons observé le mardi 9 mai dans le quartier Lapanouse aux alentours de 15H ».
Selon les habitants, c’est au contraire la jeune femme qui est allé agressé un jeune, croyant qu’il était en train de filmer l’échange tendu qu’elle avait avec des jeunes non contents de ses choix politiques. La conseillère municipale lui aurait lancé son téléphone portable, alors que le jeune homme, non concerné par l’histoire rechargeait son crédit téléphonique. Éprise de colère, elle aurait roué de coups le jeune homme.
D’ailleurs, interpellé puis placé en garde à vue le jeune homme a décidé de porter, à son tour, plainte à l’encontre de Glawdys Ramadji pour coups et blessures.
Commentaires
commentaires