Après la purge de l’autre soir contre Niculescu, facilement explicable par la décharge émotive ressentie par la n°1 mondiale qui revenait à Indian Wells après quatorze ans de boycott, on a retrouvé hier une Serena Williams implacable.
La Kazakhe Zarina Diyas, 32e mondiale balayée 6-2, 6-0, serait la mieux placée pour témoigner.
«Je me suis sentie normale cette fois-ci, reconnut l’Américaine. La journée de repos de samedi m’a fait du bien.» En huitièmes de finale, Williams sera opposée à sa compatriote Sloane Stephens, 42e mondiale. «J’ai eu quelques matches durs contre elle, se rappelle Serena. J’ai remarqué qu’elle jouait bien cette année (après une saison 2014 délicate)».
NegroNews avec l’Equipe.fr