Elle est vice-présidente exécutive de Famfa Oïl, Directrice Générale du Groupe de mode La Rose de Sharon Group, sa fortune est estimée à 1,6 milliards de dollars. Pourtant, publiquement, elle admet prendre plaisir être une femme soumise, et en particulier à laver les dessous de son mari.
En 2016, une telle déclaration venant d’une femme aussi puissante et influente n’avait pas manqué de défrayer la chronique. Plusieurs magazines nigérians avaient repris l’information. « Mon mari est mon meilleur ami, le plus grand conseiller et supporter. Nous nous connaissons depuis 40 ans, nous sommes mariés depuis 37 ans et avec quatre garçons. (…) Je lave encore ses dessous jusqu’à ce qu’il y a 6 ans, il insiste pour que j’arrête. Je prépare également son plat de légumes préféré et fais sa manucure et pédicure régulièrement. » Déclarait fièrement la milliardaire nigériane.
Pour cette fervente chrétienne, faire en sorte que la différence de statut entre elle et son époux ne soit pas un obstacle à l’épanouissement de leur couple, est l’une de ses priorités. « Même si nous travaillons dans le même bureau, je veille toujours que nous partageons des moments d’intimité au moins deux fois par jour, matin et soir », poursuit-elle. D’ailleurs, son mari, Modupe Alakija, préside sa compagnie pétrolière. C’est une affaire familiale, car ses quatre fils travaillent eux aussi dans l’entreprise.
Pour la petite histoire, Folorunsho Alakija, 67 ans, est née à Ikorodu (État de Lagos), au sein d’une famille musulmane du pays Yorouba, dans le sud-ouest du Nigeria. Son père, un commerçant aisé, a eu huit femmes et 52 enfants. Sa mère était marchande de tissu.Dans les années 1970, elle est secrétaire à la First National Bank of Chicago, puis petit à petit elle parvient à décrocher le poste de directrice corporate à l’International Merchant Bank of Nigeria. En 1993, Elle acquiert une licence d’exploration de pétrole. En 2000, la Star Deep Water Petroleum a évalué à 1 milliard de barils les réserves du bloc 216, dont elle est propriétaire. Depuis, elle a diversifié ses activités, notamment dans l’imprimerie et la mode pour s’imposer aujourd’hui comme étant l’une des femmes les plus riches du continent Africain.
Pour la petite histoire, Folorunsho Alakija, 67 ans, est née à Ikorodu (État de Lagos), au sein d’une famille musulmane du pays Yorouba, dans le sud-ouest du Nigeria. Son père, un commerçant aisé, a eu huit femmes et 52 enfants. Sa mère était marchande de tissu. Dans les années 1970, elle est secrétaire à la First National Bank of Chicago, puis petit à petit elle parvient à décrocher le poste de directrice corporate à l’International Merchant Bank of Nigeria. En 1993, elle acquiert une licence d’exploration de pétrole. En 2000, la Star Deep Water Petroleum a évalué à 1 milliard de barils les réserves du bloc 216, dont elle est propriétaire. Depuis, elle a diversifié ses activités, notamment dans l’imprimerie et la mode pour s’imposer aujourd’hui comme étant l’une des femmes les plus riches du continent africain.
Annabella Kemayou
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