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LES CONNAISSANCES AVANCÉES DES DOGONS DU MALI EN MATIÈRE D’ASTRONOMIE

Les Dogons sont un peuple africain d’environ 300.000 personnes, vivant au Mali.

Point important : leur culture traditionnelle est exclusivement orale.

Les enfants pressentis pour être la mémoire vivante de leur peuple apprennent par coeur, dès leur plus jeune âge, les litanies des anciens venues des temps les plus reculés. On ne leur demande pas de les comprendre et il est interdit de les interpréter. Ce qui a été dit une fois l’est pour toute l’éternité.
Les jeunes cervelles vierges sont des supports mnémoniques vivants, à charge pour elles de transmettre aux générations suivantes la tradition sans l’altérer d’un iota.
Les Dogons sont extrêmement attachés à leurs racines.Cela se remarque déjà aux portes de leur maisons.

Certains historiens ont même observé une ressemblance étonnante entre les huit ancêtres fondateurs du monde Dogon et l’ogdoade d’Hermopolis, …/…Une piste peut-être pour expliquer la façon dont seraient parvenues aux Dogons leurs connaissances astronomiques, par des voyageurs venus des zones nilotiques ?

Autre similitude avec l’Ancienne Egypte : Le culte des crocodiles

Le mode de vie des Dogons est conforme à ce que l’on sait des tribus archaïques

Des connaissances qui bousculent les anthropologues

Le premier à avoir signalé des « bizarreries » dans les croyances dogons s’appelle Marcel Griaule. Peu à peu il gagne leur confiance et pénètre leur culture, cherchant un sens à leurs pratiques magiques pour le moins troublantes.
Un vieux sage-chasseur aveugle Ogotemmeli consent à lui révéler les fondements de la cosmogonie dogon. Et pour une surprise, c’en est une de taille !

Les Dogons connaissent Sirius, l’étoile la plus brillante après notre soleil (à « seulement » 8,6 années lumière) dont ils prétendent qu’elle est le point de création de l’univers. Mais il ajoutent qu’une autre étoile, de couleur blanche, plus petite mais beaucoup plus lourde, tourne autour de Sirius. Elle met 50 ans à en faire le tour.
Une fête dogon immémoriale commémore l’évènement. Mythologie de la brousse ?

Eh bien non, cette étoile nous l’appelons Sirius B depuis sa découverte par l’Américain Alvan Clarke en 1862. Mais on n’a élaboré la théorie des naines blanches, très lourdes et d’une extrême densité, possible transition vers un trou noir, que dans les années 1930. Or Sirius B est effectivement une naine blanche très dense, d’un diamètre égal à deux fois et demi celui de la terre, et dont la masse équivaut à 90% celle de notre soleil.Les astrophysiciens ont attendu les années 1960 pour en calculer le cycle de révolution : 49,9 de nos années. Pour ne pas dire 50 !

Seulement voilà, Sirius B est invisible à l’oeil nu et il faut un puissant télescope pour l’apercevoir. Alors, comment une tribu primitive perdue dans une zone déshéritée de l’Afrique sub-sahélienne a-t-elle pu avoir connaissance de cette réalité ? Comment ses membres peuvent-ils aussi prétendre que d’autres « compagnons » (des planètes ?) tournent aussi autour de Sirius ? Quand la première exoplanète de Sirius A a attendu le XXIème siècle pour être confirmée…

Encore plus extraordinaire !

Dans le domaine de leur extraordinaire savoir d’origine incompréhensible, les Dogons connaissent comme les Mayas et les Incas les différentes phases de Vénus, à laquelle ils attribuent un « compagnon » qui pourrait être l’astéroïde Toro découvert en 1848.Ils savent aussi que la terre tourne autour du soleil et que la lune est desséchée et inhabitable.Ils connaissent également les quatre plus gros satellites de Jupiter invisibles eux aussi à l’oeil nu, ainsi que les anneaux de Saturne, mais leur vision du système solaire s’arrête là.

Ainsi semblent-ils mieux connaître les parages de Sirius que notre propre système planétaire, ce qui laisse à supposer qu’ils n’ont pas acquis ces connaissances par eux même mais sont les dépositaires d’une science ancienne qui les dépasse.
La preuve : ces étonnantes révélations d’ordre métaphysique pour eux toutes les étoiles ont des enfants invisibles (les planètes ?) et ils dessinent le cosmos sous forme de spirales (les galaxies ?) qui s’éloignent de nous à toute allure (l’expansion de l’univers ?) par une combinaison de mouvements rotatifs que l’on retrouve à l’échelle des plus infimes parties invisibles des objets (les atomes ?).

Reste un dernier point, encore non élucidé, mais que des radioastronomes modernes considèrent comme plausible depuis 1995 : une troisième étoile tournerait autour de Sirius, beaucoup plus petite celle-là, selon une ellipse excentrée de trente deux ans, que les Dogons dessinent sur certains de leurs objets sacrés. Il ne reste plus qu’à l’observer… Et à découvrir qui a bien pu leur enseigner tout cela !

Source : SOS-planete via diasporas-noires.com

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