Enlevées il y a deux ans à Chibok elles font parties des 300 lycéennes kidnappés par le groupe terroriste Boko Haram.
Libérées ce jeudi d’après une source sûre de la présidence Nigériane contre quatres prisonniers dans la région de Banki à la frontière du Cameroun, cette libération constitue un véritable soulagement pour les familles des victimes du groupe djihadiste, pour les partisans de la campagne « bring back Our girls » et le président Buhari qui n’a pas manqué de rappeler aux nigérians que plus de 30.000 citoyens ont été victimes de la barbarie de la secte islamique.
NegroNews
Commentaires
commentaires