Le cyclone tropical Dineo a causé des dommages considérables sur son passage. On dénombre, selon un bilan publié ce vendredi 17 février, par l’Institut national de gestion des catastrophes naturelles (INGC), 7 morts, 55 blessés, dont quatre dans un état critique et 650 000 personnes sinistrées dans le sud du Mozambique, plus précisément dans la province touristique d’Inhambane.
Si, le cyclone est bel et bien passé, en l’état actuel des choses, la crainte est actuellement portée sur les risques d’inondations qu pourraient faire suite à la catastrophe naturelle. Pour ce qui est du cyclone, il se dirige vers l’Afrique du Sud et atteindra probablement ce Samedi le Botswana.
Le bilan des dégâts causés par le cyclone est lourd humainement, mais pas que. En effet, les dégâts matériels sont aussi non négligeables. Près de 1 000 salles de classe et 70 centres de santé ont été détruits.
Afin d’éviter de corser l’addition, des mesures doivent être rapidement prises pour répondre aux risques d’inondation.
Pour rappel, en 2000, les inondations avaient fait 800 morts et plus d’une centaine en 2015. Si les événements naturelles sont incontrôlables, la gestion de ceux-ci est bien du ressort des hommes. Les inondations étant fréquentes, il serait grave que l’État n’est pas pris ses dispositions pour y remédier ou limiter les dégâts.
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