Tout au long de la crise ivoirienne, la Cour pénale internationale a été brandie par la France comme un épouvantail menaçant pour faire pression sur le président Gbagbo afin de le forcer à des concessions en faveur de la rébellion. Son transfèrement, en novembre 2011, à la Haye s’inscrit sur cette ligne conduite par la France […]