Mercredi, le général Mokoko s’est vu accusé de « troubles à l’ordre public » suite aux appels à la désobéissance civile. Le candidat vaincu aux présidentielles du 20 mars par le président Sassou-Nguesso est détenu depuis juin sur des accusations de détention illégale d’armes mais aussi d’atteinte à la sûreté de l’état. Cette accusation n’est sans doute pas en reste dans le rejet de sa demande de mise en liberté provisoire prononcé ce jeudi.
NegroNews
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